Sunday, May 17, 2009

Norvège , Islande et Azerbaidjan n'appratiennent pas à l'UE tout comme la Turquie ....


Norvège , Islande et Azerbaidjan n'appratiennent pas à l'UE tout comme
la Turquie !
Il faut donc TOUT FAIRE pour les " integrer " ......


En fait il y a deux choses ; Faire accepter l'idée au peuple que
l'islande, la Turquie etc sont parties intégrantes de leur quotidien de
façon détournée (la majorité des gens sont incapables de citer les pays
qui constituent l'Europe de toutes les facons)

La deuxièmeme chose, c'est que ce projet d'intégration dans la
perspective d'un autre but, n'est pas récent, c'est juste l'application
de projets décidés il y a plus d'un demi-siècle, notamment par le père
de la construction européenne et fondateur de la PanEurope, Richard de
Coudenhove Kalergi, qui, durant son discours de 1950, lors de la remise
du prix Charlemagne, insistait sur « Europe unie de l'Islande à la
Turquie comme de la Finlande au Portugal ».

Et si on prend l'actualité de janvier avec décryptage :
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Le profond désaccord exprimé par Premier ministre turc, Recep Tayyip
Erdoôan, a été analysé comme une possible rupture d'alliance entre la
Turquie et Israël.

Rappelons qu'à l'occasion du World Economic Forum, tenu à Davos le 29
janvier 2009, le Premier ministre turc s'était vivement opposé à Shimon
Peres, le président d'Israël.

La réalité est que les responsables turcs et israéliens travaillent,
pour le moment, conjointement en vue du Nouvel Ordre Mondial.

En effet, des liens très forts unissent les deux pays comme par exemple
le passage du pipeline Bakou-Tbilissi-Ceyhan (BTC) sur le territoire turc.

En effet, ce pipeline est détenu à 20% par Israël.

Le BTC est le pipeline qui achemine du pétrole de la mer Caspienne
d'Azerbaïdjan jusqu'en Turquie par la Géorgie, plus précisément de Bakou
( Azerbaïdjan) à Ceyhan ( Turquie), en passant par Tbilissi, capitale de
la Géorgie.

La négociation de ce pipeline s'est faite dans les années 90 sous
l'administration Clinton, et par l'intermédiaire de l'américain Richard
Morningstar (qui était à l'époque le principal responsable de ces
négociations).

En août 2008, Erdoelan a dit que a cette initiative s'inscrivait dans la
volonté plus large d'Ankara de contribuer à la paix au Proche-Orient A.
La « paix » est en effet un slogan bien pratique quand il s'agit en
réalité d'établir des accords économiques avec un Etat dont on prétend
ensuite dénoncer la politique génocidaire du peuple palestinien.

Même une analyse superficielle des intérêts économiques turc contredit
les déclarations spectaculaires d'Erdoban : Israël est l'un des pays non
européens avec qui la Turquie a le plus intensifié ses échanges
commerciaux depuis les années 1980.

Preuve en est : le volume de ces échanges est passé de 50 millions de
dollars en 1985 à 1,3 milliard de dollars en 2002.

Mais Recep Tayyip Erdoelan ne se limite pas à être un fidèle allié et
promoteurs des projets sionistes, il est également un des acteurs
prééminents du plan des mondialistes.



La Turquie fait partie des pays membres de l'Union pour la méditerranée
et tape des pieds et des mains pour intégrer l'Union européenne, avec
toutes les conséquences que cela entraînerait pour son territoire :

perte officielle de la souveraineté nationale et monétaire au profit de
l'instance supranationale, avec en prime la politique régionaliste des
instances mondialistes qui toucherait de plein fouet le pays avec
l'indépendance kurde qui ne manquerait pas d'être proclamée.

Le ministre des Affaires étrangères d'Erdoban, Ali Babacan, est le
négociateur en chef dans le cadre du processus d'accession à l'Union
européenne depuis 2005 ; ii a d'ailleurs représenté la Turquie durant le
sommet de l'Union Pour la Méditerranée.

Tous ces blocs continentaux (européens, méditerranéen, nord-américain,
sud américain, africain, etc.), standardisés et partageant tous les
mêmes règles et statuts, n'ont d'autre finalité que l'établissent d'un
gouvernement mondial.

Certains disent que les mondialistes occidentaux ne voudront jamais de
la Turquie au sein de l'Europe.

Cependant, N. Sarkozy a supprimé le référendum sur l'adhésion de la
Turquie ie 8 juillet 2008, cinq mois après la ratification du traité de
Lisbonne pourtant refusé par les Français en 2005 à hauteur de 55%,
malgré tout le consensus politique et médiatique en faveur du « OUI ».

On le comprend bien, cela laisse la porte grande ouverte à une adhésion
de la Turquie

Au-delà de ce que les apparences veulent donc faire croire, Erdoôan est
doublement lié aux groupes de réflexion mondialistes occultes, via la
présence de Ali Babacan à la réunion du Groupe Bilderberg en 2008, en
2007, en 2004 et en 2004.

Ces faits démontrent qu'Erdoôan est incontestablement lié au plan
mondialiste, au-delà même de sa relation privilégiée avec Israël à
travers le pipeline BTC.

Quel est alors la logique de ce show à Davos, qui voudrait faire croire
aux spectateurs crédules que le « courageux » Erdogan tient tête à
Shimon Peres, alors que la réalité ne cesse de démonter qu' il se trouve
être tout en à fait en phase avec les sionistes les plus puissants et
influents, tel David Rockefeller, qui est entre autres l'un des
fondateurs du Groupe Bilderberg, et qui construit avec d'autres
banquiers mondialistes le Nouvel « Ordre » Mondial ?

La relation du gouvernement Erdogan avec les mondialistes affairistes
s'inscrit dans la continuité d'un processus entamé au début du 20e
siècle avec la destruction du Califat Islamique, par les mêmes forces
occultes mondialistes.

A la tête de ce que l'on a appelé mensongèrement « l'indépendance turque
», il y avait le franc-maçon Mustapha Kemal, dit Ataturk (le « père » de
tous les Turcs), Chef des « Jeunes Turcs », et surtout membre de la loge
maçonnique italienne « Macedonia Resortae Ventas ».

Ceux qui pensent que le Premier ministre Erdotian et son parti - l'AKP -
œuvrent pour les intérêts de l'Islam, des musulmans et du monde libre
font fausse route.

Sur le fond, les mondialistes son en plein accord sur le projet global.

Les divergences ne portent que sur la forme : d'un coté, la branche
néo-libérale unipolaire avec toute son arrogance (Sarkozy, Berlusconi et
Rockefeller notamment) et, de l'autre, la branche multipolaire (Erdogan,
Chavez, Chirac et Poutine notamment).

Cela à été parfaitement résumé par le président turc Abdullah GUI au
journal britannique The Guardian, le 16 août 2008: « les Américains
doivent partager le pouvoir dans le nouvel ordre mondial »4.